Jachères apicoles De la technique au bien commun tout en passant par les Bcae
Guy Montrade est agriculteur en Earl avec sa fille, sur une exploitation de 160 hectares dans la Donde. Depuis plusieurs années une dizaine d’hectares de l’exploitation est en jachère. Jachères Pac, dans un premier temps, elles sont rapidement devenues jachères apicoles. Entre parcelles difficiles et intérêts communs le choix de Guy Montrade n’a pas été difficile. Il revient au micro de Terre-net Web TV sur l’utilité de la jachère apicole.
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Les jachères apicoles sont des mélanges de plantes herbacées mis en place sur des parcelles « gelées ». Leurs particularités : une « floraison étalée dans le temps » en fonction du mélange, mais couvrant dans la plupart des cas, d’avril à août, la saison apicole. Annuelles ou pérennes, toutes les possibilités sont envisageables. Jachère mellifère ou apicole, « c’est la même chose » ! La terminologie mellifère est celle retenue par l’administration pour les couverts qui apportent « des compléments alimentaires aux abeilles et aux autres pollinisateurs », dans le cadre des Bcae mises en place cette année. Depuis l’annulation du taux de gel obligatoire, le cadre réglementaire dans lequel peuvent s’inscrir les jachères apricoles ou mellifères est celui de la Bcae « maintien des particularités topographiques » (retrouvez en cliquant sur le titre le décryptage complet de cette mesure). |
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